Réalisée en Douglas purgé d’aubier, cette terrasse de 5 ans a due être refaite (lambourdes et lames) car implantée à ras-le-sol dans l’humidité et le confinement. Cette solution a été choisie pour l’esthétique malgré le manque de ventilation et sa durée de vie limitée prévus dès le départ.
La réfection a été faite à l’identique en y apportant quelques petites touches de sécurité : bois autoclave de classe 4 pour les lambourdes (à la place du Douglas), cette fois posées sur des cales en caoutchouc synthétique. L’espace entre les lames a été également augmenté afin de limiter la formation de mousses et l’accumulation de terre entre elles.